USAGE DE « SIDAKIN » POUR ASSAINIR L’EAU CONTAMINÉE : Une solution peu efficace
Face à la flambée des prix, à quand la riposte ?
Depuis quelques temps, il n’est plus aisé pour le béninois moyen de s’offrir les trois repas quotidien. Et pour cause, tout est cher constate-t-on sur la plupart des marchés. Chose rare et étonnant, le gari l’un des aliments très populaire du fait de son rôle dans l’alimentation des béninois a franchi la barre des 500 FCFA au kilo. Aux dires des analystes avertis, ceci devrait interpeller chacun de nous et nous faire prendre conscience sur le danger qui nous guette.
Le Bénin reconnu pays excédentaire pour bon nombre de produits au niveau de l’UEMOA est en train de subir les effets couplé de la crise sanitaire et des tensions dans la sous-région. Face à cette situation, il urge d’activer certains leviers pour protéger les consommateurs béninois car rien ne vaut un peuple affamé. Dans un pays où l’on ne dispose pas d’une réserve alimentaire capable de riposter en cas de crises exogènes. Il y a matière à réfléchir car la famine tout comme les inondations font plus de dégâts que les politiques hasardeuses de nos états africains.
Il faut le rappeler, se nourrir fait partie des besoins fondamentaux universellement reconnu.
À nous de jouer !