GESTION ADEQUATE DES DECHETS SOLIDES EN AFRIQUE: Un mémorandum a été signé pour la mise en œuvre d’un programme de gestion

Dans le but de lutter contre la pollution de l’environnement dans certains pays de l’Afrique, un mémorandum a été signé pour la mise en œuvre d’un programme de gestion des déchets solides.

Ruth EDOH

Dans le cadre de la mise en œuvre du programme triennal dont les activités démarrent en 2023, un mémorandum d’entente a été signé pour la mise en œuvre du Programme triennal de renforcement des capacités dans le domaine de la gestion des déchets dans les villes africaines (2022-2025). . Annoncé lors de la 8e Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique, il consiste à former des experts de 12 pays africains pour une gestion adéquate des déchets solides en Afrique. C’est une initiative du Centre international des technologies de l’environnement de Tunis (Citet) et de l’Agence japonaise de coopération internationale.

Pour la mise en œuvre, le programme s’appuiera sur les expériences individuelles afin d’apporter des solutions contextuelles. En collaboration avec les institutions, les experts tunisiens et japonais, il sera appuyé par le Programme des Nations unies pour les établissements humains (ONU-Habitat) et de la Plateforme africaine des villes propres (ACCP).

Selon le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE), environ un tiers des cours d’eau d’Amérique latine, d’Afrique et d’Asie souffrent d’une pollution pathogène grave. Selon un rapport de la Banque mondiale, la quantité de ces déchets devrait tripler d’ici à 2050. Il urge d’investir dans la valorisation des déchets organiques en fertilisant, en biogaz ou encore le recyclage des déchets plastiques.

Pour la bonne gestion des déchets, le PNUE les partenaires au développement sont appelés à soutenir les futures initiatives qui contribuaient à réduire les émissions de méthane et de carbone noir associées aux déchets.

Share the Post:

Articles Similaires

En marge du SPACE 2025 à Rennes, le Directeur de l’élevage, Yao Akpo, revient sur les acquis de la participation béninoise. Amélioration génétique, insémination artificielle, production fourragère, mini-abattoirs, formation des jeunes, organisation d’un salon national agricole : autant d’innovations que le Bénin entend adapter pour renforcer la productivité, moderniser ses filières et positionner l’élevage comme un moteur de développement durable et compétitif.

BÉNIN

« Ensemble, nous allons faire de l’élevage une activité qui attire la jeunesse », Yao Akpo, Directeur de l’Élevage. En

Lire PLus