Ruth EDOH
Mettre en place une usine de traitement de soixante (60) tonnes par jour et transformer près de 10 {e43727ebdf1c82cdaf05db1b2e953f1c6b388407dfc0230603c9b856384b4112} de la production annuelle de noix de cajou brutes (RCN) au Bénin, générer cinq cents (500) emplois directs et mille (1000) emplois indirects au Bénin ; tous les deux (2) ans, le nombre d’emplois directs devrait augmenter de deux cents et autre sont les objectifs et la capacité de l’entreprise SINO-BENIN NOIX DE CAJOU dont les experts vietnamiens ont signé un contrat avec la zone industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ).
Au total l’usine à une capacité de production annuelle de 15 000 tonnes de noix de cajou évaluée à environ dix (10) milliards de FCFA (près de 15 millions d’euros) sur cinq (5) ans en machines et matières premières. « Tout est mis en place pour me permettre de développer mon usine au Bénin. Je suis ravi de mettre en place mon usine de transformation de noix de cajou », a laissé entendre Liu Guowei, Directeur Général de sino-Bénin noix de cajou.
Sino- Bénin noix de cajou sera opérationnelle au premier trimestre 2023. Létondji BEHETON, Directeur Général SIPI-BENIN a remercié son partenaire Liu Guowei et affirme que le Bénin fait sa marche dans la scène africaine en matière de production d’anacardiers. « Leurs produits seront extraits des déchets de coques de noix de cajou, une usine de bio charbon transformera les déchets de coquilles de noix de cajou en bio charbon, et une usine fabriquera des confiseries et des biscuits à partir de noix de cajou. Avec toutes ces réussites futures, GDIZ sera le premier écosystème intégré de noix de cajou en Afrique.»