USAGE DE « SIDAKIN » POUR ASSAINIR L’EAU CONTAMINÉE : Une solution peu efficace
EDITO : Les métiers verts : Pourquoi ?
Avec une population majoritairement rurale et une dépendance plus ou moins forte aux ressources naturelles, il est essentiel de promouvoir et de développer ces secteurs pour assurer le bien-être de notre pays. Il s’agit bien des métiers verts.
C’est un secret de polichinelle. Ils englobent une large gamme d’activités telles que l’agriculture biologique, la foresterie, l’élevage et l’artisanat rural. Secteurs sûrs d’opportunités d’emploi et de revenus importants pour les populations locales. Favorables à la préservation de l’environnement en limitant les pratiques nocives telles que l’érosion des sols, la déforestation et la surpêche.
Toutefois, ces secteurs sont encore sous-développés au Bénin et confrontés à de nombreux défis. Des infrastructures souvent insuffisantes, Des pratiques agricoles traditionnelles encore nécessiteuses de modernisation et les marchés toujours instables. Essentiel est donc de renforcer les capacités des acteurs locaux, notamment en matière de formation, de recherche et de développement, de financement et de commercialisation.
Et c’est à ce niveau toute l’utilité de la prochaine édition du forum Agri Talk.
Moment dédié aux échanges très pointus sur les métiers verts, le forum s’érige en une occasion à ne point esquiver. Il suscitera des débats sur la mise en œuvre de politiques publiques soutenant ces secteurs, la promotion des produits locaux de qualité et la mise en place de partenariats public-privé efficaces. Il se veut être un moment crucial également pour sensibiliser sur l’importance de ces métiers pour le développement durable du pays.
In fine, les métiers verts représentent une opportunité importante pour le Bénin. En les développant, nous pourrions améliorer notre économie, préserver notre environnement et assurer le bien-être de nos populations. Nous devons donc travailler ensemble pour renforcer ces secteurs et construire ensemble un avenir plus vert et plus prospère.
Ce qui doit constituer notre raison de participation au prochain forum Agri Talk.
Jean-Baptiste HONTONNOU